« Je suis partie d’Iran un vendredi, pour rester en vie… »

Les mains d'Helena Photo credit Athénaïs LACHAT

Elle grandit dans un environnement violent. Aujourd’hui une avocate, elle est toujours terrifiée par son père. Depuis le commencement de sa vie, il les maltraite, sa mère et elle. Sa mère, ne pouvant plus le supporter, finit par quitter le foyer alors que Helena n’est qu’une jeune fille. Ce départ laisse le champ libre à son père, qui l’oblige à arrêter ses études pour qu’elle travaille. Helena rappelle qu’il était endetté et se sert d’elle pour gagner de l’argent. Il finit par la forcer à « travailler » chez un ami, un homme riche et influent âgé de 37 ans.